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Au Musée du Quai Branly, toutes les cultures du Cameroun ont eu l'opportunité historique de parler au monde à l'unisson grâce à la Route des Chefferies. Il s'agira de présenter et expliquer l'immense patrimoine matériel et immatériel dont dispose le Cameroun
Je suis content d’être impliqué dans ce projet qui est un moyen de valorisation de notre culture
Il s'agit d'un moment de partage de nos racines avec le monde par la porte de la France. Un moment de communion de nos de nos valeurs et de notre richesse avec le monde. Des instants d'immersion dans la fraîcheur et la saveur des génies de la forêt rendus possible par la Route des Chefferies
L’exposition de la Route des Chefferies au musée du quai Branly est une occasion pour nous, gardiens des traditions, de faire revenir nos fils et filles de la diaspora vers la source et favoriser une reconnexion avec leurs valeurs ancestrales
Cette exposition va permettre de faire connaitre les profondeurs de la culture et du patrimoine des chefferies camerounaises
L’exposition organisé par La Route Des Chefferies à Paris, a été un évènement très important pour les chefferies, dans la promotion et la sauvegarde de notre patrimoine. Elle a positionné le Cameroun en termes de culture et d’affichage de notre patrimoine.
Je lance ici ce soir un appel à tous les mécènes pour faire de la route des chefferies une route faite de bienveillance et de solidarité pour que vive la tradition africaine et vive le Cameroun
Ce que m’inspire cette exposition c’est de l’admiration pour cette innovation culturelle inédite, une nouvelle approche de valorisation de notre culture en allant vers les autres pour leur donner un avant-gout afin de les inviter à visiter notre pays et particulièrement les Grassfields. C’est une occasion idoine de vendre notre destination touristique. Cela contribue à mieux promouvoir et sauvegarder cet héritage ancestral peu connu et de l’enraciner davantage pour les générations futures surtout pour la conservation de notre identité culturelle originelle qui nous rend différent des autres peuples du monde.
L’exposition organisée par la Route des Chefferies est la plus belle représentation de la diversité culturelle camerounaise jamais vue. A mon arrivée au musée, j’ai compris que ces objets sacrés bien qu’ils soient des objets d’arts décrivaient l’expression du pouvoir, la puissance d’un monde impénétrable et enfin le rapport existant entre l’homme et la nature. Cette initiative est l’occasion d’une découverte et de la connaissance de notre culture de par le monde et de la nouvelle génération.
J’étais à chaque fois envahie par un sentiment de fierté quand je voyais les clichés de l’exposition qui s’est déroulée à Paris. Il était temps que notre patrimoine soit exposé et mis ainsi en valeur. Je suis heureuse de savoir que les Camerounais de la diaspora sont allés découvrir des objets uniques comme des trônes royaux, des calebasses, des masques et totems et prendre part aux activités de la Saison culturelle qui est un véritable pont entre le visible et l’invisible, entre le monde des ancêtres et celui des vivants.
C’était un moment historique pour la journaliste culturelle que je suis. C’est une grande victoire parce qu’au-delà de l’aspect artistique, il y a le symbole. C’est la considération des talents locaux qui se déploient pour faire briller le nom du Cameroun à travers leurs œuvres. N’oublions pas que nous sommes à deux ans des Jeux olympiques de Paris. Positionner ainsi l’image de marque du Cameroun sur le plan international, à travers la culture, c’est époustouflant. Aujourd’hui, on découvre le Cameroun autrement que par des scandales.
« L’exposition valorise le Cameroun en particulier les Grassfields (région de l’Ouest et du Nord-Ouest) où l’architecture monumentale, forge, perlage, sculpture sur bois, ont su se mêler et surtout se conserver au fil des siècles avec le concours précieux des chefs traditionnels. Je formule le vœu que cette exposition ne soit pas la dernière mais qu’elle précède d’autres expositions du même genre en rapport avec les autres aires culturelles du Cameroun. Au moment où l’on parle du retour dans leur berceau natal des œuvres enlevées illicitement à l’Afrique, le vernissage de cette exposition permet d’observer qu’une autre voie est possible.
L’exposition Sur la Route des Chefferies a fait en sorte que l’âme et le cœur des Grassfields vivent à Paris. C’était une exposition audacieuse et innovante. Jamais les traditions et les chefferies du Cameroun n’ont bénéficié d’une présentation d’une telle ampleur en France. Une des singularités remarquables de cette exposition est d’avoir inscrit dans l’espace une géographie active des identités et de la mémoire. Tout ceci en scindant dans un équilibre subtil le passé et le présent.
L'exposition de Paris est la bienvenue pour nos chefferies car elle a ouvert nos cultures au monde et donné un aperçu aux touristes qui aimeraient visiter nos régions. Cette exposition nous a permis de valoriser nos traditions ancestrales
Au Musée du Quai Branly, toutes les cultures du Cameroun ont eu l'opportunité historique de parler au monde à l'unisson grâce à la Route des Chefferies. Il s'agira de présenter et expliquer l'immense patrimoine matériel et immatériel dont dispose le Cameroun
Je suis content d’être impliqué dans ce projet qui est un moyen de valorisation de notre culture
Il s'agit d'un moment de partage de nos racines avec le monde par la porte de la France. Un moment de communion de nos de nos valeurs et de notre richesse avec le monde. Des instants d'immersion dans la fraîcheur et la saveur des génies de la forêt rendus possible par la Route des Chefferies
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Ce que m’inspire cette exposition c’est de l’admiration pour cette innovation culturelle inédite, une nouvelle approche de valorisation de notre culture en allant vers les autres pour leur donner un avant-gout afin de les inviter à visiter notre pays et particulièrement les Grassfields. C’est une occasion idoine de vendre notre destination touristique. Cela contribue à mieux promouvoir et sauvegarder cet héritage ancestral peu connu et de l’enraciner davantage pour les générations futures surtout pour la conservation de notre identité culturelle originelle qui nous rend différent des autres peuples du monde.
L’exposition organisée par la Route des Chefferies est la plus belle représentation de la diversité culturelle camerounaise jamais vue. A mon arrivée au musée, j’ai compris que ces objets sacrés bien qu’ils soient des objets d’arts décrivaient l’expression du pouvoir, la puissance d’un monde impénétrable et enfin le rapport existant entre l’homme et la nature. Cette initiative est l’occasion d’une découverte et de la connaissance de notre culture de par le monde et de la nouvelle génération.
J’étais à chaque fois envahie par un sentiment de fierté quand je voyais les clichés de l’exposition qui s’est déroulée à Paris. Il était temps que notre patrimoine soit exposé et mis ainsi en valeur. Je suis heureuse de savoir que les Camerounais de la diaspora sont allés découvrir des objets uniques comme des trônes royaux, des calebasses, des masques et totems et prendre part aux activités de la Saison culturelle qui est un véritable pont entre le visible et l’invisible, entre le monde des ancêtres et celui des vivants.
C’était un moment historique pour la journaliste culturelle que je suis. C’est une grande victoire parce qu’au-delà de l’aspect artistique, il y a le symbole. C’est la considération des talents locaux qui se déploient pour faire briller le nom du Cameroun à travers leurs œuvres. N’oublions pas que nous sommes à deux ans des Jeux olympiques de Paris. Positionner ainsi l’image de marque du Cameroun sur le plan international, à travers la culture, c’est époustouflant. Aujourd’hui, on découvre le Cameroun autrement que par des scandales.
« L’exposition valorise le Cameroun en particulier les Grassfields (région de l’Ouest et du Nord-Ouest) où l’architecture monumentale, forge, perlage, sculpture sur bois, ont su se mêler et surtout se conserver au fil des siècles avec le concours précieux des chefs traditionnels. Je formule le vœu que cette exposition ne soit pas la dernière mais qu’elle précède d’autres expositions du même genre en rapport avec les autres aires culturelles du Cameroun. Au moment où l’on parle du retour dans leur berceau natal des œuvres enlevées illicitement à l’Afrique, le vernissage de cette exposition permet d’observer qu’une autre voie est possible.
L’exposition Sur la Route des Chefferies a fait en sorte que l’âme et le cœur des Grassfields vivent à Paris. C’était une exposition audacieuse et innovante. Jamais les traditions et les chefferies du Cameroun n’ont bénéficié d’une présentation d’une telle ampleur en France. Une des singularités remarquables de cette exposition est d’avoir inscrit dans l’espace une géographie active des identités et de la mémoire. Tout ceci en scindant dans un équilibre subtil le passé et le présent.
L'exposition de Paris est la bienvenue pour nos chefferies car elle a ouvert nos cultures au monde et donné un aperçu aux touristes qui aimeraient visiter nos régions. Cette exposition nous a permis de valoriser nos traditions ancestrales
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